• Marseille, Capitale Européenne de la Culture en 2013, qui l’aurait cru !

    Cette ville mal aimée, corrompue, malsaine et violente n’est pas très réputée pour sa culture ni pour sa gastronomie mais miracle, Marseille vit en 2013 le début peut-être  d’une renaissance avec l’arrivée du Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MUCEM).

    Le bâtiment, imaginé par l’architecte Rudy Ricciotti sur le môle J4 et relié au fort Saint-Jean par une passerelle aérienne, est une merveille en termes de design et de prouesse technologique.  A l’intérieur du bâtiment, près de 5000m² accueillent les expositions.

    Le musée, comme son nom l’indique, est organisé autour des questions contemporaines qui agitent les cultures méditerranéennes.  Les visiteurs peuvent suivre des débats, des concerts et discussions autour d’un film, d’un café littéraire ou d’un repas gastronomique orchestré par le grand chef étoilé de Marseille, Gérald Passédat.

    Juste à côté du Mucem se trouve la Villa Méditerranée. Ce bâtiment aérien, terrestre et sous-marin, a pour vocation de soutenir la coopération en Méditerranée, tout en sensibilisant les citoyens aux enjeux de la Méditerranée d’aujourd’hui et de demain.

    Notre coup de cœur lors notre visite de ce lieu fut le Café des  Méditerranées, tenu par son gérant Monsieur Thierry Miceli et son équipe. Son café est situé au rez-de- chaussée du bâtiment, la salle tout en longueur a vue sur la mer et c’est là que les touristes viennent faire leur pause déjeuner rapide avant de continuer leurs expos.

    Une carte assez courte propose des sandwiches divers et variés fabriqués avec des ingrédients frais et bios, des salades composées goûteuses et fraîches, des boissons et des jus de fruits haut de gamme, ainsi que des macarons de la maison Meresse, des glaces de la Maison de Glace et des biscuits Orsoni.

    DSC05519DSC05520DSC05521DSC05522DSC05523DSC05524DSC05526DSC05527DSC05528DSC05529Le tout est servi par un personnel souriant. Les prix sont raisonnables pour la qualité (et pour un café de musée).

     

     


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  • Dai Shinozuka is another new Japanese chef cooking French food on the restaurant scene in Paris.

    The chef used to work for Yves Camdeborde at the Comptoir du Relais and now he is on his own at the legendary wine bar in the heart of the Bobo quarter in the Marais, a place called les Enfants Rouges.

    His take is more Bistronomique than Gastronomique like Camdeborde when he was at the Régalade.The 35 euros dinner menu with four choices of entrées, mains dishes and dessert is a bargain because with this menu you also have two amuses bouches.

    At this dinner we started with a refine amuse bouche of a mousseline of smoked haddock with fish egg. Then we followed up with a chicken broth with Japanese pearls, the broth is a little bit too generous for our tastes, and after our main dishes were a chicken filet with seasonal vegetables and a piece of crispy and perfectly cooked cod. For the dessert we had a delicious panacotta with mango and passion fruit.

    The wine list is short but eclectic with reasonable prices, we had a very good crémant de Bourgogne for appératif for this occasion.

    The service is nice and full of smiles but it needs to be revised and reorganized on the weekend, our hostess was running to every table and she will need one more waiter to help the one that was present.

    Restaurant Les Enfants Rouges

    9, rue Beauce

    75003 Paris

    MÉTRO : Arts et Métiers, Filles du Calvaire & Saint-Sébastien-Froissart

    TÉL : +33 1 48 87 80 61DSC05728DSC05729DSC05730DSC05731DSC05732DSC05733DSC05734DSC05735DSC05736


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  • Nous avons découvert le restaurant Agapé il y a cinq ans avec un jeune prodige - mais timide  - aux manettes dans la cuisine : Bertrand Grébaut. 

    Suite à notre repas, nous avions souhaité rencontrer le chef qui nous avait préparé ce fabuleux déjeuner ; notre hôte à l’époque, Laurent Lapaire, était alors allé chercher le jeune chef pour que nous puissions le féliciter. Quelques mois après notre passage, il décrochait la première étoile au Michelin pour le restaurant.

    Depuis Bertrand Grébaut a pris son envol et il a ouvert le fameux Septime. Quant à Laurent Lapaire, il a ouvert entre temps l’Agapé Substance et l’Agapé Bis.

    Maintenant l’Agapé a repris du poil de la bête avec son chef japonais, Toshitaka Omiya, qui pratique une cuisine subtile, raffinée et délicate, le tout avec une discrétion exemplaire.

    Le menu du déjeuner à 35 euros avec amuse-bouche, entrée, plat, pré-dessert et dessert est vraiment l’un des meilleurs rapport-qualité prix de Paris pour un restaurant étoilé au guide rouge.

    A noter aussi le service, qui joue sa partition comme des professionnels éclairés.

    Une adresse à mettre sur la liste des « top ten ».

    Agapé

    51, rue Jouffroy d'Abbans
    Paris 17e
    Tél. 01 43 80 68 09

    Menus :
    35 (déj.), 90, 120 €

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